Aurélia, l'entrepreneuriat sur le bout des doigts

« Être conseillère Adie, c’est sortir des sentiers battus, partager des expériences de vie, apprendre de nouvelles manières de fonctionner et, au fond, découvrir le monde. »
Parisienne d'origine, c'est désormais Nice qui occupe le cœur d’Aurélia. Après 14 ans passés à l’Adie dans les Alpes-Maritimes en tant que conseillère, elle porte un regard chargé d’émotions sur ce métier qui l’a « changée ».
« Être conseillère Adie, c’est sortir des sentiers battus, partager des expériences de vie, apprendre de nouvelles manières de fonctionner et, au fond, découvrir le monde. »
Après ses études, Aurélia travaille pendant deux ans à Paris, dans une association privée qui finance des créateurs d’entreprises en faisant appel à l’épargne. En 2005, elle suit son mari dans le Sud de la France et ils créent tous les deux une entreprise de courtage en livres anciens.
« Ma rencontre avec l’Adie ? J’ai vu le logo de l’Adie à travers des vitres de la rue Jean Medecin, je suis entré dans l’agence et on a sympathisé. »
Deux ans plus tard, Aurélia intégre l’agence Adie de Nice comme conseillère. Elle reste plus de 14 ans dans l’association, au contact de celles et ceux qui veulent créer leur entreprise mais qui n’ont pas accès au crédit bancaire. Lorsqu’on lui demande sa plus belle réussite comme conseillère, elle réfléchit, elle hésite, puis nous dévoile une vingtaine de noms tant il est impossible pour elle de faire un classement.
« J’ai eu la chance de faire le plus beau métier du monde, d’être celle qui aide à concrétiser les rêves des gens qui nous font confiance ! »
Aujourd’hui, Aurélia reprend le chemin de l’entrepreneuriat, toujours dans le domaine de restauration de livres. Un chemin qu’elle connaît désormais sur le bout des doigts. En plus d'avoir été salariée à l'Adie et est désormais entrepreneure, elle est aussi bénévole car elle connaît l'Adie, son public et le discours à tenir.